LE CINEMA
DES ECRIVAINS
QUAND LA LITTÉRATURE FAIT SON CINÉMA
DIMANCHE 17 NOVEMBRE
» BORDEAUX / Cinéma Utopia, 11h : Projection de Le terroriste de Gianfranco de Bosio, suivie d’une rencontre avec Valerio Varesi animée par Bernard Daguerre, Polar en Cabanes.
Tarif : 5€.
Le Terroriste, de Gianfranco de Bosio, 1963, Italie-France (1h34). Version restaurée 4K. Résistance italienne, décembre 1943. Gian Maria Volonté y incarne un partisan actif à Venise alors que le comité de libération national de la ville se divise sur la nécessité de continuer les actions violentes face aux représailles meurtrières des nazis et de leurs alliés. Austère, dépouillé, le film combine action et réflexion.
Table de vente proposée par la librairie Le Passeur le soir du spectacle.
©1963 Societa Editoriale Cinematografica 22 Dicembre - Cinematographique Lyre
JEUDI 21 NOVEMBRE
» NIORT / Cinéma Le Moulin du Roc, salle Philippe Avron, 18h30 : Projection
de Father’s day, de Kivu Ruhorahoza, suivie d’une rencontre avec Beata Umubyeyi Mairesse, animée par Célia Prot, libraire. Tarif du cinéma en vigueur. En partenariat avec Regards noirs, la ville de Niort et la librairie L’Ombre du Vent.
Father’s day, de Kivu Ruhorahoza, 2022, Rwanda (1h51)
Le croisement de trois histoires familiales dans le Rwanda d’aujourd’hui.
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©DR
©Patrick Lemasurier
©Patrick Lemasurier
VENDREDI 22 NOVEMBRE
» SAINTE-LIVRADE-SUR-LOT / Cinéma l’Utopie, 18h : Projection de Souvenirs d’un futur radieux de José Vieira, suivie d’une rencontre animée par Angélique Muller, attachée à la direction des affaires culturelles de Villeneuve-sur-Lot. Gratuit.
SAMEDI 23 NOVEMBRE
» BÈGLES / Cinéma La Lanterne, 20h30 : Projection de Souvenirs d’un futur radieux de José Vieira, suivie d’une rencontre animée par Martine Laval, conseillère littéraire. Tarif : 5€.
Souvenir d’un futur radieux, de José Vieira, 2014, France (90mn)
Ce documentaire est l’histoire croisée de deux bidonvilles qui se sont construits, à 40 ans d’intervalle, sur un même territoire, hors la ville de Massy. Il nous interroge sur notre hospitalité, sur le traitement infligé par la France à ses étrangers, esquisse une mémoire commune des bidonvilles et témoigne que l’immigration a une histoire.